jeudi 30 avril 2015
suite d'un premier échange
Le 30/04/2015 20:11, . . . a écrit :
Merci Bertrand de prendre le temps de
m'expliquer votre démarche. Sur le fond, sur l'analyse et le message que vous
portez et que vous voulez faire connaître aux Français, lesquels se
reconnaîtront nombreux dans votre vision des carences et des impérities de ceux
qui nous gouvernent, je n'ai rien à redire.
C'est sur la méthode que je m'inquiète. Je pense que
la liste des élus en mesure de parrainer les candidats ne sera jamais
disponible en ligne, car les gouvernant ne veulent pas faciliter la
multiplication des candidatures. Relisez ce que Peyrefitte relate des débats en
Conseil des ministres au moment de la révision référendaire de 62 après le
Petit-Clamart. Il est clair que le Général et ses principaux ministres
voulaient restreindre l'accès à la candidature. C'est pourquoi je pense que
vous devriez commencer à solliciter directement des élus locaux.
Si vous recueillez les signatures requises, si vous
êtes candidat, vous aurez absolument besoin d'un collaborateur chargé des
contacts avec la presse, car c'est par la presse que passera votre message,
davantage que lors des émissions de la campagne officielle que plus personne ne
regarde, nous ne sommes plus, malheureusement en 1965 avec Lecanuet, Tixier Vignancour,
Marcilhacy et Barbu ! Il faudra solliciter les médias au début puis les gérer,
enfin les canaliser. Cette tâche ne doit pas être assurée par vous, vous êtes
l'homme de la nation, vous surplombez cela ! Et pour être pris au sérieux, il
vous faudra quand même vous déplacer un minimum dans le pays, organiser
quelques réunion publiques, pour cela un peu d'argent est nécessaire ...
Le 30/04/2015 21:29,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit :
Les
concours pratiques et bénévoles pour la campagne arriveront d'eux-mêmes si je
fais la percée des 500 signatures.
Je sais pertinemment que les gouvernants ne veulent pas faciliter l'accès aux "parrains" potentiels. J'ai écrit RAR à chacun des ministres de l'Intérieur depuis Guéant compris, donc le printemps de 2012. J'ai perdu mes trois-quatre recours en Conseil d'Etat d'année en année, dont le premier en référé en 2012. A la suite du dernier en date, il y a un an ou dix-huit mois, j'ai introduit un recours en Cour européenne, j'ai été déclaré non recevable. Démocratie, tu n'es qu'un mot. Cette fois-ci je commence tôt, et vais travailler les parlementaires, mais rien que de confectionner la liste, autrement que par les suffixes habituels (j'ai un quart de rejet), et selon la notice de chacun/chacune un par un va me demander quarante-huit heures d'affilée : près de mille adresses à vérifier ou copier.
En 2012, j'étais arrivé par les préfets dont la moitié m'avait répondu favorablement à obtenir les courriels des 12.000 mairies mais sans les noms ni les adresses institutionnelles des maires. je n'ai eu... qu'une seule réponse : très amicale, et ouverte... pour la prochaine fois.
Il est inexact que DG fermait la porte. 1965, 1969 et 1974 se sont déroulés avec seulement 100 signatures et surtout sans publication de ces signatures. C'est la publication - intégrale s'il n'y a que 500 parrainages, par tirage au sort s'il y a plus - qui freine et même empêche la libre adhésion d'un parrain à un candidat. Le Conseil constitutionnel, Goguel principalement à qui j'en ai fait reproche, j'ai été son visiteur de 1970 à sa mort, a proposé à VGE la réforme aboutissant au système actuel. Je l'ai critiquée dans le Monde : la publication surtout. Argument : on serait dans une dictature rampante, le président en place veut se maintenir à tout prix, un début d'ambiance lourde. Encore moins de parrains pour l'opposant puisque ce sera public.
Donc actuellement 1° un livre non politique qui me fasse connaître, 2° les députés ou sénateurs (rien qu'une dizaine, vraiment convaincus, sur les 1.000 ou un peu moins m'apporteront des maires et conseillers locaux, la boule de neige pourra rouler. Donc grossir. Disons que c'est l'étape de maintenant à la fin de l'année, pendant que court une énième demande au ministre de l'Intérieur et un recours dans deux mois si je n'ai pas de réponse.
Je n'aurai pas entrepris cette démarche si j'avais eu - comme tant de Français l'ont aussi espéré - quelques satisfactions d'orientation politique de la part de NS puis de FH. Ou si j'avais bénéficié de quelques égards à l'Elysée. Depuis Octobre 2011, j'ai demandé à FH un quart d'heure tête-à-tête toutes les trois semaines. Je n'y ai jamais été admis. J'ai été reçu - chaleureusement - par Pierre René Lemas une heure à quinze jours de sa démission. Je n'ai eu d'accusés de réception de substance de JPJ que quand je l'ai soutenu parfois en nocturne par des courriels circonstanciés dans l'affaire de son déjeuner avec Fillon. C'est quand on tombe ou qu'on craint de tomber que l'on me répond. Jospin qui m'avait dédaigné pendant ses cinq ans m'a écrit deux cartes manuscrites la nuit de son élimination, sans se rendre compte du doublon et pour me dire ses regrets de ne m'avoir jamais reçu à Matignon. Nous nous étions vus deux fois quand il était premier secrétaire avant d'aller à l'Education nationale.
Un ouvrier dans l'Espoir : je ne veux pas qu'on me dédaigne.
Bonne fin de soirée.
Je sais pertinemment que les gouvernants ne veulent pas faciliter l'accès aux "parrains" potentiels. J'ai écrit RAR à chacun des ministres de l'Intérieur depuis Guéant compris, donc le printemps de 2012. J'ai perdu mes trois-quatre recours en Conseil d'Etat d'année en année, dont le premier en référé en 2012. A la suite du dernier en date, il y a un an ou dix-huit mois, j'ai introduit un recours en Cour européenne, j'ai été déclaré non recevable. Démocratie, tu n'es qu'un mot. Cette fois-ci je commence tôt, et vais travailler les parlementaires, mais rien que de confectionner la liste, autrement que par les suffixes habituels (j'ai un quart de rejet), et selon la notice de chacun/chacune un par un va me demander quarante-huit heures d'affilée : près de mille adresses à vérifier ou copier.
En 2012, j'étais arrivé par les préfets dont la moitié m'avait répondu favorablement à obtenir les courriels des 12.000 mairies mais sans les noms ni les adresses institutionnelles des maires. je n'ai eu... qu'une seule réponse : très amicale, et ouverte... pour la prochaine fois.
Il est inexact que DG fermait la porte. 1965, 1969 et 1974 se sont déroulés avec seulement 100 signatures et surtout sans publication de ces signatures. C'est la publication - intégrale s'il n'y a que 500 parrainages, par tirage au sort s'il y a plus - qui freine et même empêche la libre adhésion d'un parrain à un candidat. Le Conseil constitutionnel, Goguel principalement à qui j'en ai fait reproche, j'ai été son visiteur de 1970 à sa mort, a proposé à VGE la réforme aboutissant au système actuel. Je l'ai critiquée dans le Monde : la publication surtout. Argument : on serait dans une dictature rampante, le président en place veut se maintenir à tout prix, un début d'ambiance lourde. Encore moins de parrains pour l'opposant puisque ce sera public.
Donc actuellement 1° un livre non politique qui me fasse connaître, 2° les députés ou sénateurs (rien qu'une dizaine, vraiment convaincus, sur les 1.000 ou un peu moins m'apporteront des maires et conseillers locaux, la boule de neige pourra rouler. Donc grossir. Disons que c'est l'étape de maintenant à la fin de l'année, pendant que court une énième demande au ministre de l'Intérieur et un recours dans deux mois si je n'ai pas de réponse.
Je n'aurai pas entrepris cette démarche si j'avais eu - comme tant de Français l'ont aussi espéré - quelques satisfactions d'orientation politique de la part de NS puis de FH. Ou si j'avais bénéficié de quelques égards à l'Elysée. Depuis Octobre 2011, j'ai demandé à FH un quart d'heure tête-à-tête toutes les trois semaines. Je n'y ai jamais été admis. J'ai été reçu - chaleureusement - par Pierre René Lemas une heure à quinze jours de sa démission. Je n'ai eu d'accusés de réception de substance de JPJ que quand je l'ai soutenu parfois en nocturne par des courriels circonstanciés dans l'affaire de son déjeuner avec Fillon. C'est quand on tombe ou qu'on craint de tomber que l'on me répond. Jospin qui m'avait dédaigné pendant ses cinq ans m'a écrit deux cartes manuscrites la nuit de son élimination, sans se rendre compte du doublon et pour me dire ses regrets de ne m'avoir jamais reçu à Matignon. Nous nous étions vus deux fois quand il était premier secrétaire avant d'aller à l'Education nationale.
Un ouvrier dans l'Espoir : je ne veux pas qu'on me dédaigne.
Bonne fin de soirée.
retour à un premier échange
Le 28/04/2015 10:15, … a écrit :
Quelle belle
aventure ! Un engagement politique à votre hauteur. Mais ne devriez-vous pas
être déjà en train de sillonner le pays pour commencer à recueillir des
promesses de signatures ? Avez-vous entrepris de recueillir des fonds pour
financer la première campagne, celle du recueil de ces fameuses signatures ? Je
sais pour avoir participé dans son intégralité à la campagne de Marseille que
'argent et le soutien des autres élus constituent le préalable à la campagne des
idées auprès des électeurs via les médias. Il faut aussi une attachée de presse
pour le lien avec les médias, c'est indispensable.
De ma chaise roulante, je ne pourrais guère vous
aider activement autrement qu'en relayant vos idées sur les réseaux sociaux. Ou
en relisant vos discours à l'avance. Je ne partage pas toutes vos idées mais je
les trouve stimulantes et donc je vous soutiendrai. Personnellement, je voterai
Hollande s'il se présente car il préserve autant qu'il peut le système de
protection sociale français, sinon Juppé aux deux tours. Je me demande si vous
n'auriez pas intérêt à prendre attache avec Juppé en lui disant qu'au moment où
vous êtes recalé, vous le soutiendrez. peut-être facilitera-t-il le recueil des
signatures... c'est un peu fourbe comme suggestion surtout que vous êtes en
désaccord sur bien des sujets, mais au bout du compte, il faudra choisir !
Le 30/04/2015 18:41,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit :
Cher …, je reviens sur votre
message d'avant-hier, et vous donne un véritable écho de ce que vous me faites
observer. Ma première réponse ayant été les 500 et …. Je crois que vous n'avez
pas bien saisi ma démarche. Elle est hors normes et inusuelle, pas du tout à cause
de la disproportion entre mes ressources propres et un objectif qui serait
d'être élu ou d'avoir une présence en voix très substantielle, mais par sa
nature.
Elle se veut la démonstration que la politique peut être tout autre, pas seulement en le prétendant, mais en le montrant et en le faisant vivre. Donc, tous les outils, tous les organigrammes habituels, les rédactions pesées de discours, les attachés et attachées de ceci ou de cela, les désistements, les accords et les conciliabules. Non. Quelqu'un qui monte sur la scène politique pour la changer et parce qu'il a reçu - pour la campagne - 500 parrainages sans machines, sans caution, et qui - pour durer ensuite après la campagne et représenter un sens commun des Français - reçoit un certain nombre de leurs suffrages au premier tour. Cela pour parler librement pendant la campagne du premier tour, librement de tout, en analyses et en propositions pour la France, ce que je fais vainement depuis 2007 par des courriels et autres à l'Elysée et parfois vers les parlementaires, en critique aussi (ou encouragement) des autres candidats favoris ou pas, en rappel de qui nous sommes, étions et pouvons être. Représenter donc et vraiment les Français dans leur liberté d'appréciation et dans la simplicité des moyens qu'ils voient communément pour que nous revenions à la lumière. Cette liberté attirera. Et il y aura à l'organiser vis-à-vis du pouvoir qui sortira du scrutin présidentiel prochain, quel qu'en soit la date.
Ma démarche ne préjuge pas du tout des votes "utiles" ni du choix de chacun au second tour pour un président. Peu importe celui qui sera élu. Il y a toutes chances et raisons, que celui-ci continuera dans la ligne hypermédiatique et surcommunicante de ses deux prédécesseurs, aura la même politique d'abandon du patrimoine et de dessaisissement de la puissance publique, et ne consultera personne pendant les cinq ans de son mandat. Qu'il méconnaîtra la France, ce qu'elle est, qu'il sera autant enfermé que ses deux prédécesseurs soit dans son ego, soit dans les modes intellectuelles qui nous tuent. C'est donc cela qu'il faut mordre, tout de suite après l'élection, l'élu étant indifférent, seule la fonction et ce qu'il reste à celle-ci de vraies prérogatives sera ma cible, et celle des Français à travers moi. Je ne serai que serviteur, que porte-parole ou porte-plume. Et pas bien longtemps. La pérennisation se fera si j'ai pu être présent au premier tour. Se fera dans des formes imprévisibles actuellement, mais certainement car ce sera la fissure dans la cocotte-minute vissée plus à fond encore à chaque nouveau mandat, qu'on présente machinalement comme une alternance au pouvoir. Où est le pouvoir ? et quelle est l'alternative ?
Donc ni argent ni désistements.
Ressource, la technologie actuelle : campagne de recueil par internet.
Notoriété à conquérir, indépendamment (en apparence) du projet : un ou plusieurs livres dont le premier ne sera que "littéraire". Pas du tout politique. Mais personnel. J'en fais l'ébauche et l'esquisse jour après jour depuis deux-trois mois.
Pour réussir la première étape - et l'avant-étape : sortie d'un livre qui existe vraiment dans les médias et dans les esprits - il faudra ce que les uns appellent la chance, qui en ce domaine, je crois, n'existe pas, et ce que d'autres plus lucides et exigeants, appelle au moins la Providence. Ce que je tente, je le crois nécessaire à notre pays. Le système actuel, fonctionnant depuis vingt ans, le perd. ce n'est pas loin d'être irréparable. J'entends par systèmes les esprits dominants, les modes et interdits, autant que les institutions et leur pratique, les modes de scrutin, l'ensemble de nos rigidités et de docilité aux modes et plus encore aux échelle de valeur régnantes : cooptation, cupidité, apatridie, infidélité, amnésie.
Vous espérant en progrès chaque jour des diverses chaises au lit et retour.
Elle se veut la démonstration que la politique peut être tout autre, pas seulement en le prétendant, mais en le montrant et en le faisant vivre. Donc, tous les outils, tous les organigrammes habituels, les rédactions pesées de discours, les attachés et attachées de ceci ou de cela, les désistements, les accords et les conciliabules. Non. Quelqu'un qui monte sur la scène politique pour la changer et parce qu'il a reçu - pour la campagne - 500 parrainages sans machines, sans caution, et qui - pour durer ensuite après la campagne et représenter un sens commun des Français - reçoit un certain nombre de leurs suffrages au premier tour. Cela pour parler librement pendant la campagne du premier tour, librement de tout, en analyses et en propositions pour la France, ce que je fais vainement depuis 2007 par des courriels et autres à l'Elysée et parfois vers les parlementaires, en critique aussi (ou encouragement) des autres candidats favoris ou pas, en rappel de qui nous sommes, étions et pouvons être. Représenter donc et vraiment les Français dans leur liberté d'appréciation et dans la simplicité des moyens qu'ils voient communément pour que nous revenions à la lumière. Cette liberté attirera. Et il y aura à l'organiser vis-à-vis du pouvoir qui sortira du scrutin présidentiel prochain, quel qu'en soit la date.
Ma démarche ne préjuge pas du tout des votes "utiles" ni du choix de chacun au second tour pour un président. Peu importe celui qui sera élu. Il y a toutes chances et raisons, que celui-ci continuera dans la ligne hypermédiatique et surcommunicante de ses deux prédécesseurs, aura la même politique d'abandon du patrimoine et de dessaisissement de la puissance publique, et ne consultera personne pendant les cinq ans de son mandat. Qu'il méconnaîtra la France, ce qu'elle est, qu'il sera autant enfermé que ses deux prédécesseurs soit dans son ego, soit dans les modes intellectuelles qui nous tuent. C'est donc cela qu'il faut mordre, tout de suite après l'élection, l'élu étant indifférent, seule la fonction et ce qu'il reste à celle-ci de vraies prérogatives sera ma cible, et celle des Français à travers moi. Je ne serai que serviteur, que porte-parole ou porte-plume. Et pas bien longtemps. La pérennisation se fera si j'ai pu être présent au premier tour. Se fera dans des formes imprévisibles actuellement, mais certainement car ce sera la fissure dans la cocotte-minute vissée plus à fond encore à chaque nouveau mandat, qu'on présente machinalement comme une alternance au pouvoir. Où est le pouvoir ? et quelle est l'alternative ?
Donc ni argent ni désistements.
Ressource, la technologie actuelle : campagne de recueil par internet.
Notoriété à conquérir, indépendamment (en apparence) du projet : un ou plusieurs livres dont le premier ne sera que "littéraire". Pas du tout politique. Mais personnel. J'en fais l'ébauche et l'esquisse jour après jour depuis deux-trois mois.
Pour réussir la première étape - et l'avant-étape : sortie d'un livre qui existe vraiment dans les médias et dans les esprits - il faudra ce que les uns appellent la chance, qui en ce domaine, je crois, n'existe pas, et ce que d'autres plus lucides et exigeants, appelle au moins la Providence. Ce que je tente, je le crois nécessaire à notre pays. Le système actuel, fonctionnant depuis vingt ans, le perd. ce n'est pas loin d'être irréparable. J'entends par systèmes les esprits dominants, les modes et interdits, autant que les institutions et leur pratique, les modes de scrutin, l'ensemble de nos rigidités et de docilité aux modes et plus encore aux échelle de valeur régnantes : cooptation, cupidité, apatridie, infidélité, amnésie.
Vous espérant en progrès chaque jour des diverses chaises au lit et retour.
mercredi 29 avril 2015
à la suite de ma lettre, échange avec un autre de mes amis
Le 29/04/2015 08:57, .
. . a écrit :
Ami très cher,
Vous pouvez compter sur mon
adhésion entière.
Je ne doute pas que vous puissiez
réunir 500 signatures, avec ou sans l'assistance du fichier des élus.
C'est pourquoi il faut d'ores et
déjà penser à l'après, à la campagne et à son organisation: le médium est
le message disait Mc Luhan.
Tous les Ies "petits
candidats" ont été systématiquement - à tort ou à raison -
caricaturés par les médias depuis Barbu jusqu'à Cheminade. La construction
et la diffusion du message doit par conséquent être d'une rigueur
millimétrée pour ne pas donner prise au discrédit.
Car cette course en solitaire est un affrontement avec la sphère médiatique dont il convient avant tout de conquérir la
sympathie.
Chaleureusement
Le 29/04/2015 09:22,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit :
Pour les médias, des livres dans les dix-huit mois, la réédition de mes papiers du Monde et de la Croix et autres. De l'ancienneté et du sérieux. De l'aliment aussi pour regarder les autres. Michel Jobert avait excellé à cela, il apportait idées et "matériaux".
Affection.
mardi 28 avril 2015
à la suite de ma lettre à sept amis, échange avec l'un d'eux
Le 28/04/2015 10:15, … a écrit :
Quelle belle
aventure ! Un engagement politique à votre hauteur. Mais ne devriez-vous pas
être déjà en train de sillonner le pays pour commencer à recueillir des
promesses de signatures ? Avez-vous entrepris de recueillir des fonds pour
financer la première campagne, celle du recueil de ces fameuses signatures ? Je
sais pour avoir participé dans son intégralité à la campagne de Marseille que
'argent et le soutien des autres élus constituent le préalable à la campagne des
idées auprès des électeurs via les médias. Il faut aussi une attachée de presse
pour le lien avec les médias, c'est indispensable.
De ma chaise roulante, je ne pourrais guère vous
aider activement autrement qu'en relayant vos idées sur les réseaux sociaux. Ou
en relisant vos discours à l'avance. Je ne partage pas toutes vos idées mais je
les trouve stimulantes et donc je vous soutiendrai. Personnellement, je voterai
Hollande s'il se présente car il préserve autant qu'il peut le système de
protection sociale français, sinon Juppé aux deux tours. Je me demande si vous
n'auriez pas intérêt à prendre attache avec Juppé en lui disant qu'au moment où
vous êtes recalé, vous le soutiendrez. peut-être facilitera-t-il le recueil des
signatures... c'est un peu fourbe comme suggestion surtout que vous êtes en
désaccord sur bien des sujets, mais au bout du compte, il faudra choisir !
Le 28/04/2015 22:43,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit :
La partie principale, ce sont
les cinq cent signatures. La campagne, si je peux en être, sera d'épouser le
terrain, de marquer avec précision tous les autres pour inaugurer cette
fonction tribunicienne à exercer auprès du gagnant quel qu'il soit. Vous avez donc, mon cher ..., tout le temps de vous
rétablir. Ce sont les signatures qui me donneront les médias, et cette campagne
si j'y suis admis, qui me donnera pour longtemps visibilité et légitimité. Mais
je passerai vite la main étant donné mon âge.
lundi 27 avril 2015
lettre - ce jour - RAR au ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, aux bons soins de deux membres de son cabinet
Reniac, le lundi
27 Avril 2015
Objet :
lettre pour la lecture personnelle du Ministre
je me permets
de vous redonner – daté de ce jour – le
dispositif de la lettre que je vous priais le 24 Novembre dernier de
bien vouloir mettre sous les yeux du Ministre de l’Intérieur en qui j’ai
confiance.
Il me semble
qu’en toute objectivité et dans l’esprit de démocratie que nous souhaitons tous
pérenne dans notre pays, satisfaction à ma demande et éventuellement à celle
d’autres qui souhaitent contribuer à un débat national puis à un suivi de fond
de notre resaisissement, ne peut gêner personne et en tout cas pas le
gouvernement ni le candidat que celui-ci soutiendra le moment venu pour la
prochaine mandature présidentielle.
Vous ne m’en
voudrez cependant pas de considérer cette troisième adresse au ministre comme
faisant courir les délais d’un éventuel contentieux administratif.
Je suis à
votre disposition comme à celle du Ministre pour vous rencontrer et que nous
parlions, si nécessaire, de la pratique de ma demande. Notamment parisien du 5
au 13 Mai prochains.
à Madame Marie-Emmanuelle
Assidon, conseillère spéciale
&
à Monsieur Gabriel Kunde,
chef du cabinet
de Monsieur Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur
*
* *
Reniac, le lundi
27 Avril 2014
Objet :
organiser dès maintenant l’accessibilité de la liste des élus habilités à
présenter une candidature à la présidence de la République
je me permets
de vous réécrire aujourd’hui dans les mêmes termes et pour la même demande que
le 18 Juin 2014.
A vos deux
prédécesseurs, successivement, depuis le printemps de 2012, j’ai vainement
demandé de rendre désormais accessible la liste des personnalités susceptibles,
selon notre Constitution, de présenter une candidature à la présidence de la République.
Je venais –
alors – de faire une expérience. Souhaitant participer à la campagne
présidentielle par les médias à seule fin de faire valoir quelques thèmes
absents du discours ambiant alors qu’ils sont dans tous les esprits et surtout
de nécessité publique et nationale, j’avais tenté de mettre en oeuvre le moyen
que permet aujourd’hui la technique à un candidat sans réseau, sans argent et
sans préparation militante ou d’organigamme politique pendant plusieurs
décennies. La communication par courriel internet. Expérience de la démocratie
à la portée de tout citoyen, ou pas ?
J’avais
demandé aux préfets de départment – par courriel – la liste des adresses
électroniques des communes de leur département. Un nombre appréciable me
l’avait couriellée. Un nombre également appréciable n’a pas cru devoir même
accuser réception. Un petit nombre s’était couvert d’un décret de l’été 2011
sur l’incommunicabilité de la liste et des coordonnées des élus – ce qui
n’était pas ma demande et ce dont ont convenu alors vos services (cabinet du
secrétaire général).
Les
associations départementale et a fortiori l’association nationale des maires de
France ne donnent pas systématiquement ces listes et parfois refusent de les
communiquer. Il est évident qu’avoir à questionner commune par commune leur
site électronique, si elles en ont un, est une suggestion impraticable. Une
recherche pour 42.000 noms, nom par nom… et une saisie à la main…ne sont pas
physiquement praticables, sauf puissante logistique et réseaux.
Il me semble
que doit être d’ordre public l’accessibilité à tous candidats à la présidence
de la République,
non seulement de ces listes que j’ai demandées aux préfets : adresses
ékectroniques des communes de leur département respectif, mais bien la liste
nominative numérisée des élus ayant qualité pour présenter ou
« parrainer » l’un ou l’autre – avec adresse électronique de
l’institution à laquelle ils ont été respectivement élus (parlementaires, conseillers
généraux et municipaux, maires). Il n’y aura aucune atteinte à la vie privée de
chacun des élus, lequel est forcément un personnage public auquel chacun
s’adresse librement. Nous vivrons alors – pratiquement – une liberté publique
fondamentale qui n’est pour l’heure que théorique : la possibilité pour
toute Française et pour tout Français de solliciter celles et ceux qui ont la
responsabilité de présenter ou pas une ou un candidat à la présidence de la République.
La liste
serait une facilitation, elle serait numérisée et communiquée sous cette forme
pour que soit atteint l’objet visé : l’accès libre des candidats aux
présentateurs et « parrains » potentiels. Le Conseil constitutionnel
détiendrait cette liste et la mettrait constamment à jour. Le demandeur de cette
liste devrait motiver sa demande par le projet de candidature et s’engager à ne
pas transférer cette liste vers des tiers ou des officines pour des fins
différentes de cette candidature.
La prochaine
élection présidentielle peut s’ouvrir à tout moment, à Dieu ne plaise. Il n’est
donc pas trop tôt pour organiser désormais cette accessibilité.
Par la
présente, je vous demande de bien vouloir constituer cette liste nominative des
élus habilités avec l’adresse de leur institution respective. Cela sous la
forme la plus aisément communicable et exploitable par les demandeurs : la
numérisation, et d’en définir l’accessibilité selon nos principes
démocratiques.
Le refus
implicite de vos deux prédécesseurs a été jugé, sur mon recours, à trois
reprises par le Conseil d’Etat, chaque fois avec des moyens différents selon
des mémoires en défense rédigés par vos services.
Les listes
existent en préfecture, elles peuvent être centralisées place Beauvau et sont
sans doute tenues à jour pour le Conseil constitutionnel. Pour rester en
conformité avec les textes régissant les archives publiques, je ne demande,
pour communiquer avec ces personnalités publiques, que leur adresse
électronique institutionnelle. Et je crois agir pour le bien commun et tout
éventuel futur candidat…
Ce que je
sais de vous – notamment par des collègues aux Affaires étrangères quand vous y
étiez ministre délégué aux Affaires européennes – et plus généralement par
votre présence en campagne pour François Hollande, quoique sans avoir pu
régulièrement accéder à votre blog. notamment ce matin avant de vous écrire, me
donne à espérer dans votre indépendance d’esprit et votre libre examen. Que
donc vous allez prendre une décision toute simple, selon la définition la plus
pratique de notre démocratie : l’égalité des chances. Et je serai très
honoré de vous avoir inspiré cette initiative. Naturellement, je suis à votre
disposition si vous souhaitez en délibérer avec moi.
à Monsieur Bernard Cazeneuve,
Ministre de l’Intérieur, place Beauvau . 75008 Paris
copie pour information
à Monsieur le Président du
Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré
message à sept amis que j'estime et qui m'estiment
Notre cher pays est en déshérence, son patrimoine matériel et
intellectuel est à l'encan, l'Etat abandonne ses prérogatives et ses moyens, il
n'en impose ni aux grands patrons ni à l'étranger (gouvernements ou
investisseurs), le service public comme outil et comme honneur n'est plus une
norme. La France n'est plus l'âme de l'Europe ni sa proposition et elle n'est
plus en démocratie. Les décisions sont prises à huis clos et à l'improviste. Le
bien commun n'est plus ni discerné ni défendu. Au mouvement brownien de 2008 à 2012 a succédé le vide mais
la confusion entre la communication et la réflexion a encore augmentée.
L'alternance au pouvoir tous les cinq ans ne produit que quelques changements
aux places politiques, mais aucune réévaluation de nos orientations.
Je crois que ce diagnostic est celui de beaucoup de Français.
Je suis convaincu qu'un autre cours - gagnant, consensuel, lumineux, à la mesure de la France et contagieux, incitatif pour l'ensemble de l'Union européenne - est possible et depuis des années. Je me suis efforcé par des communications directes à l'Elysée, à défaut d'accueil dans les médias écrits ou audiovisuel, de suggérer ce cours parfois quotidiennement selon les sujets, les circonstances et les risques. Sans être jamais écouté. Je crois que bien des Français ont tenté aussi d'instruire nos gouvernants de l'opinion et du bon sens de presque tous nos compatriotes.
Tel qu'a dérivé le régime de responsabilité et de sanction de la reponsabilité fondé et pratiqué par le général de Gaulle - ce soir, anniversaire du dernier acte de son legs : sa démission puiqque le referendum du 27 Avril 1969 était négatif - l'élection présidentielle n'est accessible à personne sans très lourde et antique machine de parti. Tels que sont nos médias et nos modes de penser aujourd'hui, une autorité morale est très difficile à discerner et il est encore plus difficile d'en devenir une, sans préjudice des talents et de la valeur, de l'intégrité des personnes.
Mon ambition est modeste, quoiqu'encore bien grande tant font défaut les possibilités les plus concrètes pour qu'aboutisse ce que je projette et dont je vous ai déjà parlé.
Participer en candidat à la prochaine élection présidentielle, mais seulement pour faire valoir certaines analyses, quelques certitudes en entraînant d'autres et aussi pour évaluer à mesure les insuffisances des autres candidats. Fonder ainsi une certaine fonction de transmission à qui exercera la plus haute magistrature de notre pays, transmission de ce que les Français ressentent des moyens à prendre et des reconstructions à opérer. Ce que j'ai communiqué à titre personnel depuis 2008, si cela était porté dans l'avenir par un nombre appréciable de suffrages au premier tour, forcera désormais l'attention. Un mouvement se créera et survivra à cette salutation - même minime - du suffrage universel.
A l'âge que j'ai déjà atteint, ce n'est pas une carrière que j'ambitionne mais le lancement d'une nouvelle forme de présence et d'influence plus que d'action politiques.
Trois étapes. L'ultime commencera dès le soir du premier tour et durera - d'autres prendront le relais - pendant les mandats présidentiels à suivre jusqu'à un retour à la pratique gaullienne de nos institutions. La seconde : la campagne proprement dite sera la plus facile et la plus gratifiante. Réfléchir à haute voix, proposer pour l'avenir et critiquer le présent librement, libre de toutes attaches, de tous parrains, de toutes idéologiques ou de tous dogmes pendant quelques semaines et à égalité avec les personnages de nos deux décennies de catastrophes, de médiocrités et de dilapidations, si honorables soient - peut-être - certains en privé. C'est à ce stade-là que j'aurai besoin de vous. Vous êtes quelques-uns qui m'avez évalué depuis plusieurs années, voire deux dizaines, et que j'ai également évalués : officier général, préfet, chef d'entreprise, grand journaliste, cadet en écriture, attaché parlementaire consommé. Je crois que si la première étape, je peux la franchir, vous aurez goût de m'accompagner dans cette campagne, puis dans la mise en oeuvre de cette force de persuasion du pouvoir - quel qu'il soit - qui sortira du prochain scrutin. Nous serons d'ailleurs rejoints par un grand nombre, tant parvenir à recueillir cinq cent parrainages paraît impossible aujourd'hui et depuis que ce nombre ainsi que la publication des signatures ont été institués. En 1981, Michel Jobert et le comte de Paris l'ont constaté.
Pour tenter de recueillir ces cinq cent présentations, je demande une énième fois au ministre de l'Intérieur de mettre à la disposition de tout candidat à la candidature les listes d'adresses électroniques institutionnelles des personnalités habilitées à cette présentation. Je vais régulièrement à partir de ce soir sensibiliser par courriel les parlementaires : d'abord, des diagnostics et des suggestions, puis selon des accusés de réception exposer davantage mon voeu et donc ma façon de contribuer au bien commun et à un certain changement du jeu politique. J'essaie aussi de devenir notoire par des publications en politique certes (le recueil de mes adresses au pouvoir depuis 2008) mais en littérature et en témoignage sur la vie, car la politique est seconde et nos concitoyens, les médias aussi, sont d'abord sensibles à l'expérience humaine, à ce qui se partage du bonheur et des peurs.
Je ne vous demande pour le moment aucun engagement. Ce seront votre envie et ma réussite ou pas à recueillir ces parrainages qui vous détermineront.
Je vous tiens désormais au courant de mes initiatives et - je l'espère - des échos qu'elles recueilleront.
Toutes suggestions pour parfaire ce que je projette et vous expose seront bienvenues, même très dubitatives. Mais le précis et le pratique me seront le plus utile.
Vous n'êtes pas dix dans cette confidence et cette espérance. Je ne les rédige pas aussi sobrement et nettement que j'aurais voulu. Bousculé mais tenant à cette date symbolique.
Je crois que ce diagnostic est celui de beaucoup de Français.
Je suis convaincu qu'un autre cours - gagnant, consensuel, lumineux, à la mesure de la France et contagieux, incitatif pour l'ensemble de l'Union européenne - est possible et depuis des années. Je me suis efforcé par des communications directes à l'Elysée, à défaut d'accueil dans les médias écrits ou audiovisuel, de suggérer ce cours parfois quotidiennement selon les sujets, les circonstances et les risques. Sans être jamais écouté. Je crois que bien des Français ont tenté aussi d'instruire nos gouvernants de l'opinion et du bon sens de presque tous nos compatriotes.
Tel qu'a dérivé le régime de responsabilité et de sanction de la reponsabilité fondé et pratiqué par le général de Gaulle - ce soir, anniversaire du dernier acte de son legs : sa démission puiqque le referendum du 27 Avril 1969 était négatif - l'élection présidentielle n'est accessible à personne sans très lourde et antique machine de parti. Tels que sont nos médias et nos modes de penser aujourd'hui, une autorité morale est très difficile à discerner et il est encore plus difficile d'en devenir une, sans préjudice des talents et de la valeur, de l'intégrité des personnes.
Mon ambition est modeste, quoiqu'encore bien grande tant font défaut les possibilités les plus concrètes pour qu'aboutisse ce que je projette et dont je vous ai déjà parlé.
Participer en candidat à la prochaine élection présidentielle, mais seulement pour faire valoir certaines analyses, quelques certitudes en entraînant d'autres et aussi pour évaluer à mesure les insuffisances des autres candidats. Fonder ainsi une certaine fonction de transmission à qui exercera la plus haute magistrature de notre pays, transmission de ce que les Français ressentent des moyens à prendre et des reconstructions à opérer. Ce que j'ai communiqué à titre personnel depuis 2008, si cela était porté dans l'avenir par un nombre appréciable de suffrages au premier tour, forcera désormais l'attention. Un mouvement se créera et survivra à cette salutation - même minime - du suffrage universel.
A l'âge que j'ai déjà atteint, ce n'est pas une carrière que j'ambitionne mais le lancement d'une nouvelle forme de présence et d'influence plus que d'action politiques.
Trois étapes. L'ultime commencera dès le soir du premier tour et durera - d'autres prendront le relais - pendant les mandats présidentiels à suivre jusqu'à un retour à la pratique gaullienne de nos institutions. La seconde : la campagne proprement dite sera la plus facile et la plus gratifiante. Réfléchir à haute voix, proposer pour l'avenir et critiquer le présent librement, libre de toutes attaches, de tous parrains, de toutes idéologiques ou de tous dogmes pendant quelques semaines et à égalité avec les personnages de nos deux décennies de catastrophes, de médiocrités et de dilapidations, si honorables soient - peut-être - certains en privé. C'est à ce stade-là que j'aurai besoin de vous. Vous êtes quelques-uns qui m'avez évalué depuis plusieurs années, voire deux dizaines, et que j'ai également évalués : officier général, préfet, chef d'entreprise, grand journaliste, cadet en écriture, attaché parlementaire consommé. Je crois que si la première étape, je peux la franchir, vous aurez goût de m'accompagner dans cette campagne, puis dans la mise en oeuvre de cette force de persuasion du pouvoir - quel qu'il soit - qui sortira du prochain scrutin. Nous serons d'ailleurs rejoints par un grand nombre, tant parvenir à recueillir cinq cent parrainages paraît impossible aujourd'hui et depuis que ce nombre ainsi que la publication des signatures ont été institués. En 1981, Michel Jobert et le comte de Paris l'ont constaté.
Pour tenter de recueillir ces cinq cent présentations, je demande une énième fois au ministre de l'Intérieur de mettre à la disposition de tout candidat à la candidature les listes d'adresses électroniques institutionnelles des personnalités habilitées à cette présentation. Je vais régulièrement à partir de ce soir sensibiliser par courriel les parlementaires : d'abord, des diagnostics et des suggestions, puis selon des accusés de réception exposer davantage mon voeu et donc ma façon de contribuer au bien commun et à un certain changement du jeu politique. J'essaie aussi de devenir notoire par des publications en politique certes (le recueil de mes adresses au pouvoir depuis 2008) mais en littérature et en témoignage sur la vie, car la politique est seconde et nos concitoyens, les médias aussi, sont d'abord sensibles à l'expérience humaine, à ce qui se partage du bonheur et des peurs.
Je ne vous demande pour le moment aucun engagement. Ce seront votre envie et ma réussite ou pas à recueillir ces parrainages qui vous détermineront.
Je vous tiens désormais au courant de mes initiatives et - je l'espère - des échos qu'elles recueilleront.
Toutes suggestions pour parfaire ce que je projette et vous expose seront bienvenues, même très dubitatives. Mais le précis et le pratique me seront le plus utile.
Vous n'êtes pas dix dans cette confidence et cette espérance. Je ne les rédige pas aussi sobrement et nettement que j'aurais voulu. Bousculé mais tenant à cette date symbolique.
vendredi 10 avril 2015
ouverture
Ouverture au second jour de ma soixante-treizième
année,
de ce blog. destiné à donner les étapes d’une
tentative nouvelle.
Il commencera d’être nourri le 27 avril
prochain au soir :
pour quoi à cette date ?
et dans quel but ?
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