Bertrand Fessard de Foucault
b.fdef@wanadoo.fr
Je suis candidat à la prochaine élection
présidentielle.
Mon ambition n’est pas d’être élu, mais de
contribuer à pallier un manque dans la vie de notre République. Celle ou celui
qui reçoit mandat pour cinq ans d’animer et orienter les Français et leur
gouvernement, tombe aussitôt – selon la jurisprudence fournie depuis 1995 par
trois personnalités très différentes – dans la solitude, malgré les entourages
et la lettre de notre Constitution. Plus d’écoute, peu de délibération,
information très loin du vécu quotidien des Français. Nous en périssons, la
politique nous dessert et nous désoriente. La France n’est plus visible,
l’Europe ne se fait plus.
Je veux
1° faire entendre, en campagne dite officielle, une
parole d’expérience – service de nos entreprises sur les marchés
étrangers et négociation à Bruxelles du cadre de notre commerce extérieur,
ouverture de notre première ambassade en Asie centrale ex-soviétique, analyse
de notre vie nationale : chroniques au Monde (1972-1982) et à la Croix
(1972-1997), puis adresses à l’Elysée depuis dix ans, agrégatif de droit
public, élu local en Franche-Comté puis en Bretagne – et libre puisque je ne brigue rien, suis retraité, sans mandat électif aujourd’hui
et n’appartiens à aucun parti ;
2° recueillir assez de suffrage au premier tour, pour
– sans prendre parti pour ou contre qui que ce soit au second – être revêtu
d’une autorité morale auprès des détenteurs du pouvoir politique,
accéder à eux, ce qui m’a été refusé depuis 1995, et particulièrement par le
président actuellement sortant à qui j’ai vainement proposé depuis son
investiture d’Octobre 2011 d’être son hôte, hors organigramme et sans publicité,
un quart d’heure tous les quinze jours tête-à-tête
Je porterai
ainsi ce que, par habitude de rencontre et de dialogue en tous lieux depuis des
années partout en France, et selon des réseaux pas seulement virtuels,
qu’organisera ma participation à la campagne officielle, tant d’habitants de
notre pays pensent et suggèrent : tribun du
peuple.
Soixante-quatorze ans en Avril prochain, je passerai
le relais rapidement. Nous ne sommes pas ou plus en démocratie. Ce sont
les sans-voix, riches ou dans la misère, les hors-politiques et les
hors-société qui devraient être la préoccupation du politique. Ils ne le sont
pas.
Je commence aujourd’hui ma recherche des signatures
requises, uniquement par courriels et réseaux sociaux. Pourquoi viens-tu si tard ?
au pied du mur, mon livre de présentation de ce dessein, de mes
convictions et suggestions, est sous presse, et un site se monte.
Je vous tiens
au courant de l’avancée de chacun de ces trois points.
Très cordiale confiance dans ce que vous voudrez bien
faire connaître./.
Mercredi 1er Février
2017 – 08 heures 45
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